Là où Missmath dérive et Weby intègre.

Présenté par Blogger.

8 commentaires

Sonia Marichal a dit...

Ça n'est pas si près de chez moi que ça... Mais c'est un sacré programme !

Missmath a dit...

Le Nouveau-Brunswick partage sa frontière de pêche avec la France. Bon, évidemment, si tu déménageais à St-Pierre-et-Miquelon, tu y serais un peu plus près !!!

Le professeur masqué a dit...

Je partage en partie cette présentation. Cependant, plusieurs des choses que nous enseignerons ne changeront pas. Par exemple, comment structure un texte ou amener une idée.

En français, les NTIC peuvent apporter à mon enseignement tout comme l'aspect quincaillerie peut lui nuire. Les NTIC ne remplaceront pas certaines connaissances et compétences de base. Comprendre une définition sur Wiki ou dans l'encyclopédie Universalis, c'est encore comprendre, bien que la notion d'hyperlien est un plus.

Disons que j'aime le dynamisme de ce message qui tranche avec la platitude de notre MELS...

Sonia Marichal a dit...

;-)

Missmath a dit...

Apprendre comment structurer un texte, comment amener une idée, comment analyser un texte, ou comment le traduire en langage mathématique, comment interpréter une réponse. Voilà notre rôle et il n'est pas prêt d'être remplacer par ces outils. Cependant, pour en finir avec la poutine de l'orthographe ou des longs calculs ennuyants, on aime être équipés.

Cependant, quand ce sont les outils qui font "la job de bras", il ne reste aux élèves que le travail de tête, donc des tâches beaucoup plus complexes. Qu'adviendra-t-il des taux de réussite ?

M'sieur SVP a dit...

Je n'ai pas vu dans cette vidéo une volonté de remplacer les connaissances/compétences de base par les NTIC...

J'y ai plutôt vu une proposition plus intelligente de mettre les NTIC au service de l'homme qui pourrait se concentrer sur la valeur ajoutée d'un apprentissage.

J'y ai vu l'opportunité pour chacun de partager son savoir, voire son expérience (via l'inter-activité).

C'est en quelque sorte un élément de réponse à tes reproches, Missmath, adressés à celles et ceux qui ne reconnaissent pas la valeur du travail de conception/réflexion pédagogique des uns contre la fainéantise des autres...

Armand a dit...

Cher Poulet pour l'âne,
C'est, bien entendu, vrai.
Mais plus personne n'est capable de décrypter ce qui se passe au niveau des portes dans les microprocesseurs!
Quand j'ai étudié l'électronique, j'ai été confronté aux diodes, triodes, penthodes... dans les années '50.
A l'époque, avec un oscilloscope, on pouvait "suivre" les signaux dans les appareils.
Maintenant, on jette des sous-ensembles complets en cas de panne!
C'est la société de consommation qui ne récupère que l'or des contacts (quand les appareils sont arrivés en fin de vie).
Amitiés

Missmath a dit...

Bienvenue, Armand, dans le brouillon.

C'est tout de même terrible ce constat. Quand changer les piles des calculatrices coûtent plus cher que la calculatrice, que fait-on ? On en achète une nouvelle et on jette l'autre.

Il devrait être obligatoire à tout citoyen de visiter les dépotoirs, centres de récupération, de compostage tous les 5 ans.