Que la Ministre "fasse du sens" ou pas (je la cite), que l'on soit pro ou anti réforme, que les bulletins soient de lettres ou de chiffres, il est temps que s'unissent les professionnels de l'éducation qui veulent que l'école devienne un lieu d'émancipation pour les jeunes. On en trouve plusieurs dans la blogosphère. On s'entrelit, on s'entrecite. On trouve aussi dans nos milieux des sages qui ont longuement réfléchi, on trouve des profs qui essaient tout simplement, qui expérimentent, qui réussissent et qui tombent sur les genoux, mais qui se relèvent et qui ont le goût de continuer à avancer.
Charles-Antoine propose (billet à lire obligatoirement) la formation d'un groupe d'éducation nouvelle. Oh que oui je le veux ! Et qu'il regroupe des profs du primaire, du secondaire et du cégep pour qu'enfin on puisse partager de façon plus globale la réalité. Il est temps, à mon avis, que l'on jette les cloisons de nos secteurs et que l'on collabore les uns avec les autres, solidairement.
J'ai enlevé le mot "québécois", parce que, si je ne peux qu'agir localement, j'ai le goût de penser globalement. La non-conférence sur l'éducation 2.0 a démontré que les frontières ont peu d'importance.
Charles-Antoine, je te suis.
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