Peu de pédagogues ont laissé leurs traces en mathématique. Peu de grands mathématiciens ont été reconnus comme de bons pédagogues. Sauf peut-être Euclide.
Il est vrai qu'Euclide n'avait pas le génie d'Archimède. En fait, on ne lui reconnaît somme toute aucune découverte mathématique spectaculaire. Cependant, avec l'installation de la démocratie en Grèce, Euclide veut publier des textes incontestables. Pour ce faire, il construit ses axiomes et ses démonstrations avec une rigueur inébranlable. La légende dit qu'Euclide était un excellent pédagogue. De plus, signe des temps, comme s'il s'agissait d'un dieu, on met aujourd'hui en doute l'existence de Euclide, proposant que ses Éléments soient plutôt l'ouvrage d'un collectif, le Bourbaki de l'Antiquité. Qu'il ait été un ou plusieurs, peu importe, n'est-ce pas un honneur pour quelqu'un qui fait avancer les mathématiques ou qui oeuvre en éducation que d'être comparé à Euclide ?
Catégorie mathématique :
Григорий Перельман ! Comme ce blogue n'existait pas l'an dernier, c'est cette année que je lui accorde le premier Euclide. Gregori Perelman a simplement réussi à démontrer une conjecture de Poincaré et d'autres petites bestioles qui lui ont mérité le prix de la Société européenne de mathématiques, la médaille Fields l'an dernier et un petit million de l'institut Clay. M'enfin... notre jeune homme se moque de tout cela. Il a refusé le prix de la Société européenne car, selon lui, son jury était incompétent. Il a refusé sa médaille Fields parce que tout cela ne l'intéresse pas. Et, pour le million pffff... Les règles de l'institut Clay exige que la preuve soit publiée dans une revue spécialisée ayant un comité de lecture. Or, Perelman n'a publié sa démonstration que sur Internet, puis il l'a présentée dans plusieurs universités. Non, il n'a pas l'intention de la publier. Selon lui, l'argent n'entraine que de la violence et cela ne l'intéresse pas.
(Et ce qui est génial dans l'affaire, c'est que Perelman refuse Fields et Clay, mais ne refusera pas mon Euclide !)
Catégorie Éducation :
Plusieurs candidats en lice, mais j'accorde le premier prix Euclide à Mario Asselin. Sentant le besoin d'un temps de réflexion sur les changements nécessaires en éducation, Monsieur Asselin a lancé l'idée d'une première non-conférence sur l'éducation 2.0. L'événement s'est déroulé à Québec, mais simultanément un peu partout au Québec et en Europe via Via. Une trève à cette nostalgie de l'école d'antan. Une bonne bouffée d'air frais, des réflexions plongées vers le présent et l'avenir, des participants extrêmement intéressants, le tout lié par l'animation de Monsieur Asselin qui avait pourtant ce jour-là le coeur en berne.
Présenté par Blogger.
Un délice de fin d'année.
Ce roman dure tout de même plus de 20 minutes.
30 décembre 2007, 17h40, je viens de terminer ma correction... enfin, si j'exclus les deux &%?$*& examens de reprise qu'il me faudra préparer... alors que je sais à l'avance qui a atteint la compétence du cours et qui ne l'a pas atteinte.
Ce roman dure tout de même plus de 20 minutes.
30 décembre 2007, 17h40, je viens de terminer ma correction... enfin, si j'exclus les deux &%?$*& examens de reprise qu'il me faudra préparer... alors que je sais à l'avance qui a atteint la compétence du cours et qui ne l'a pas atteinte.
Catégorie Mathématique :
Le prix citron va à Paul Piché pour sa formule algébrique de notre inconscient collectif :
2(x-80) + 45
Non mais, tant qu'à inventer des formules, aussi bien les simplifier !
Paul, 2(x - 80) + 45 est tellement plus joli quand on l'écrit 2x - 115...
(L'entrevue avec Monique Giroux vaut ses 10 minutes... décourageant...)
Catégorie Éducation :
Le prix citron va à la ministre de l'Éducation pour avoir berner les parents avec de faux bulletins chiffrés et pour avoir aviser les professeurs des nouveaux modes d'évaluation en pleine session et très peu de temps avant la remise des dits bulletins.
À qui vont vos prix citron ?
Le prix citron va à Paul Piché pour sa formule algébrique de notre inconscient collectif :
2(x-80) + 45
Non mais, tant qu'à inventer des formules, aussi bien les simplifier !
Paul, 2(x - 80) + 45 est tellement plus joli quand on l'écrit 2x - 115...
(L'entrevue avec Monique Giroux vaut ses 10 minutes... décourageant...)
Catégorie Éducation :
Le prix citron va à la ministre de l'Éducation pour avoir berner les parents avec de faux bulletins chiffrés et pour avoir aviser les professeurs des nouveaux modes d'évaluation en pleine session et très peu de temps avant la remise des dits bulletins.
À qui vont vos prix citron ?
Comme pour cette belle enfant :
Le système d'éducation pourait nous offrir de beaux cadeaux !
En supposant que le ministère de l'Éducation a des ressources illimitées pour les 25 prochaines années, quels cadeaux aimeriez-vous qu'il vous accorde ?
(C'est Noël, on a bien le droit de rêver !)
Le système d'éducation pourait nous offrir de beaux cadeaux !
En supposant que le ministère de l'Éducation a des ressources illimitées pour les 25 prochaines années, quels cadeaux aimeriez-vous qu'il vous accorde ?
(C'est Noël, on a bien le droit de rêver !)
C'est fou, plus la pile de correction est haute, plus les éléments perturbateurs se présentent.
Ce petit jeu tout simple consiste à déplacer les sommets pour faire en sorte qu'aucune arête ne se croise.
Allez, juste un petit niveau avant de corriger...
...
...
Ouin...
J'pense qu'on va encore corriger dans la dinde cette année...
Ce petit jeu tout simple consiste à déplacer les sommets pour faire en sorte qu'aucune arête ne se croise.
Allez, juste un petit niveau avant de corriger...
...
...
Ouin...
J'pense qu'on va encore corriger dans la dinde cette année...
J'aime ça quand on me prépare un petit bout de mon premier cours :
Merci Blog à Maths pour tous ces cadeaux quotidiens.
Merci Blog à Maths pour tous ces cadeaux quotidiens.
Dans mon temps, quand on jouait à la tague, cela se faisait forcément dehors.
Il faut dire qu'alors, il n'y avait pas d'internet, pas d'ordinateur, pas de Télétoon ou de Vrak TV (même pas de télécommande !), bref, dans ce temps-là, le réseau social se tissait à l'extérieur de la maison et se limitait à la cour de récréation ou au voisinage immédiat.
Ça devait être l'enfer ?, penseront les dudes et dudettes internautes qui me lisent.
Pantoute ! Car c'était aussi l'époque où le parent n'était ni notre ami ni notre gardien de sécurité, mais notre parent et où tout ce qui comptait était :
Primo : Réussir à l'école
Secondo : Respecter le contrôle parental des présences (c'est-à-dire rentrer directement après l'école, être à l'heure pour le souper et ne pas dépasser le couvre-feu le soir).
En dehors de cela, c'était le free for all ! À 4 sur un vélo à siège banane et poignée Mustang, avec des cartes de hockey dans les rayons pour faire du bruit, les cabanes dans le bois, les glissades sur le bord de la rivière qui semblait gelée (pas de parent-gardien de sécurité pour vérifier, alors on sautait sur le bord pour voir si ça calait ou pas), la carabine à plomb pour les gars et le Easybake pour les filles. C'était l'époque où les jeux éducatifs n'étaient pas des jeux et où la publicité s'adressait directement aux enfants. (Je peux encore vous les chanter). Et je ne vous raconte pas ce que l'on mangeait !
Ça vous fait du monde fort. Parce que nous étions nombreux. Et quand on décidait de jouer en gang, il y avait nécessairement un "smatt" pour proposer de jouer à la tag. Tag ordinaire, tag malade, tag barbecue. (Mais celle-là, c'était pour Mylène Lajoie, la fille qui laissait les garçons l'embrasser. Même sur la bouche ! Une fille qui se respecte refuse de jouer à la tag barbecue, par définition.)
C'était la belle époque et les temps ont changé. Pour le meilleur et pour le pire. La tag est restée, mais elle est métamorphosée.
Il y a trop longtemps, Angel m'a taguée.
???, s'est dit la vieille. Alors j'ai demandé à Weby : "Yo, taguée, de késsé ?"
Après avoir lever les yeux au ciel comme si je venais de lui demander ce qu'était une dent, elle m'a dit : "Tu réponds et tu tagues d'autre monde."
Une définition ne doit pas contenir essentiellement l'élément à définir. Pas clair. 0/5. À refaire.
J'ai alors appris que la tag version Dude se joue entre blogues. On trouve un sujet, un thème, c'est souvent une série de questions (ta couleur préféré, ton personnage préféré dans Naruto...), auxquels on répond sur son blogue et par la suite, on tague un lecteur qui doit sur son blogue se soumettre au même exercice. Ça ressemble quand même au jeu de la tag d'antan !
D'une part, il est assez fascinant de constater que nos dudes ont pour la plupart au moins un blogue. Bien sûr, on trouve beaucoup d'images, de vidéo, de photos sur ces blogues. Bien sûr, l'orthographe peut provoquer des infartus à ceux qui ont à coeur la qualité de la langue. Il n'en demeure pas moins que si le blogue n'est pas un exercice d'écriture (quoique si j'étais prof de français, j'aurais un bel exercice à proposer à partir des blogues des dudes), il reste un catalyseur de créations. Mais il y a plus. Weby me disait que Frannnn était vraiment chanceuse car elle avait déjà sur son blogue plus de 1000 commentaires, alors que elle, elle n'en avait que 150. Or, voyez-vous, pour laisser des commentaires, ne serait-ce qu'un "Cool mais j'm mieu lotre davan", il faut être capable d'évaluer, de critiquer, de s'affirmer. La matière que l'on trouve sur ces blogues est trop brute, c'est vrai, mais il y a de la matière... pas mal plus que quand on jouait à la tag dans mon temps !
Donc, puisque j'ai été taguée, l'exercice consiste à faire mon analyse graphologique (Angel est tout de même beaucoup plus vieille que Weby, son blogue est plus sérieux... enfin, pour les vieux j'entends !). Direction Test de graphologie, voici ce que ça donne. Ceux qui me connaissent bien vont se bidonner.
Elle atteste par ailleurs de votre conscience d'exister. Vous ne voulez pas passer inaperçu mais ne cherchez pas, non plus, à nécessairement vous faire remarquer. Les accents et les points de vos lettres "i" dénotent une inclination à l'autodiscipline. Vous respectez ce qui est établi et cherchez peu à vous en démarquer. Ce signe, contraire à l'esprit de provocation, témoigne par ailleurs de votre intérêt pour la précision et l'efficacité, comme de votre faculté à la concentration. Vous ne devriez pas être mauvais au jeu d'échecs. La fermeté de vos graphes trahit une grande vitalité, une énergie qui réclame de l'action à mener sur le long terme. Vous avez la constance ainsi qu'une détermination suffisante pour réaliser vos entreprises. Aussi, dès que vous voyez clairement ce que vous désirez, vous vous jetez corps et âme dans la réalisation de votre projet. Mais vous savez aussi communiquer votre passion ce qui vous permet de commander sans que cela nécessite trop d'autorité. Vous êtes énergique, vous avez besoin d'entreprendre pour vous réaliser pleinement et ne goûtez guère l'immobilité physique comme psychique. Mais vous êtes aussi quelqu'un chez qui le sens critique est vif, et qui savez distinguer ce qui correspond à vos convictions de ce qui s'en démarque. Vous êtes, par ailleurs, caractérisé par une certaine cohérence de caractère, qui vous fait passer pour quelqu'un de mesuré, voire de "sage". Vous savez maîtriser vos pulsions, votre émotivité et ne vous y soumettre qu'après mûre réflexion. Cette tendance n'est pas toujours appréciée des autres qui vous considèrent parfois comme un être plat, monotone, manquant d'originalité ! Sur le plan de la "continuité", votre écriture indique que vous faites partie de ces individus, qui utilisent pleinement leur esprit logique, leur sens de la déduction, pour la réalisation de projets à mener sur le long terme. Mais, malgré ce sens de la logique et quoique votre extraversion vous permet de vous adapter à votre entourage, il vous arrive souvent de mener vos raisonnements, votre réflexion, jusqu'à la limite de l'absurde. Vos écrits trahissent votre manque d'imagination et de dynamisme. En un mot, le caractère vous fait défaut. On peut toutefois louer votre rigueur et votre souci du détail. Ce n'est pas avec vous qu'on risque des surprises, mais il est parfois agréable de côtoyer quelqu'un de posé. De manigance, vous en êtes capable si vos objectifs la justifient. Vous utilisez votre habileté dans l'intrigue pour vous mettre en valeur aux yeux d'autrui, pour vous vendre ou faire adhérer à vos idées. Ce n'est pas forcément un défaut mais ça peut le devenir ! Discret par prudence, vous êtes capable de mentir pour vous protéger. Votre grande hantise : que vous soyez démasqué et qu'en cela vous déceviez... D'aucun disent sans doute de vous que vous êtes intelligent (à distinguer de cultivé). C'est certainement vrai, du moins votre écriture en témoigne. Vous cultivez le bon sens et savez juger avec droiture. Vous avez des opinions mûrement réfléchies et vous les exprimez naturellement, sans vous les imposer sous forme de dogmes. La forme de vos caractères graphiques dénote une douceur certaine. Gentil, sociable, parfois charmeur, vous n'appréciez guère la solitude et recherchez constamment la présence d'autrui. De la volonté, de la stabilité, de la fermeté dans les idées. Vous allez au fond des choses grâce à une grande maîtrise de vous-même. Chez vous l'excès est de rigueur. Vous êtes impulsif, orgueilleux, mais aussi désordonné et parfois agressif. La taille de votre écriture témoigne d'un certain élan vital. Vous êtes actifs et plutôt tourné vers l'extraversion en ce sens que vous vous affirmez facilement. Vous disposez d'une qualité d'imagination accentuée par votre émotivité.
Et maintenant, je victimise Nickyboy !
(Ouais, Weby m'a dit que tag, c'était dépassé, maintenant, on ne tague plus, on victimise...)
Il faut dire qu'alors, il n'y avait pas d'internet, pas d'ordinateur, pas de Télétoon ou de Vrak TV (même pas de télécommande !), bref, dans ce temps-là, le réseau social se tissait à l'extérieur de la maison et se limitait à la cour de récréation ou au voisinage immédiat.
Ça devait être l'enfer ?, penseront les dudes et dudettes internautes qui me lisent.
Pantoute ! Car c'était aussi l'époque où le parent n'était ni notre ami ni notre gardien de sécurité, mais notre parent et où tout ce qui comptait était :
Primo : Réussir à l'école
Secondo : Respecter le contrôle parental des présences (c'est-à-dire rentrer directement après l'école, être à l'heure pour le souper et ne pas dépasser le couvre-feu le soir).
En dehors de cela, c'était le free for all ! À 4 sur un vélo à siège banane et poignée Mustang, avec des cartes de hockey dans les rayons pour faire du bruit, les cabanes dans le bois, les glissades sur le bord de la rivière qui semblait gelée (pas de parent-gardien de sécurité pour vérifier, alors on sautait sur le bord pour voir si ça calait ou pas), la carabine à plomb pour les gars et le Easybake pour les filles. C'était l'époque où les jeux éducatifs n'étaient pas des jeux et où la publicité s'adressait directement aux enfants. (Je peux encore vous les chanter). Et je ne vous raconte pas ce que l'on mangeait !
Ça vous fait du monde fort. Parce que nous étions nombreux. Et quand on décidait de jouer en gang, il y avait nécessairement un "smatt" pour proposer de jouer à la tag. Tag ordinaire, tag malade, tag barbecue. (Mais celle-là, c'était pour Mylène Lajoie, la fille qui laissait les garçons l'embrasser. Même sur la bouche ! Une fille qui se respecte refuse de jouer à la tag barbecue, par définition.)
C'était la belle époque et les temps ont changé. Pour le meilleur et pour le pire. La tag est restée, mais elle est métamorphosée.
Il y a trop longtemps, Angel m'a taguée.
???, s'est dit la vieille. Alors j'ai demandé à Weby : "Yo, taguée, de késsé ?"
Après avoir lever les yeux au ciel comme si je venais de lui demander ce qu'était une dent, elle m'a dit : "Tu réponds et tu tagues d'autre monde."
Une définition ne doit pas contenir essentiellement l'élément à définir. Pas clair. 0/5. À refaire.
J'ai alors appris que la tag version Dude se joue entre blogues. On trouve un sujet, un thème, c'est souvent une série de questions (ta couleur préféré, ton personnage préféré dans Naruto...), auxquels on répond sur son blogue et par la suite, on tague un lecteur qui doit sur son blogue se soumettre au même exercice. Ça ressemble quand même au jeu de la tag d'antan !
D'une part, il est assez fascinant de constater que nos dudes ont pour la plupart au moins un blogue. Bien sûr, on trouve beaucoup d'images, de vidéo, de photos sur ces blogues. Bien sûr, l'orthographe peut provoquer des infartus à ceux qui ont à coeur la qualité de la langue. Il n'en demeure pas moins que si le blogue n'est pas un exercice d'écriture (quoique si j'étais prof de français, j'aurais un bel exercice à proposer à partir des blogues des dudes), il reste un catalyseur de créations. Mais il y a plus. Weby me disait que Frannnn était vraiment chanceuse car elle avait déjà sur son blogue plus de 1000 commentaires, alors que elle, elle n'en avait que 150. Or, voyez-vous, pour laisser des commentaires, ne serait-ce qu'un "Cool mais j'm mieu lotre davan", il faut être capable d'évaluer, de critiquer, de s'affirmer. La matière que l'on trouve sur ces blogues est trop brute, c'est vrai, mais il y a de la matière... pas mal plus que quand on jouait à la tag dans mon temps !
Donc, puisque j'ai été taguée, l'exercice consiste à faire mon analyse graphologique (Angel est tout de même beaucoup plus vieille que Weby, son blogue est plus sérieux... enfin, pour les vieux j'entends !). Direction Test de graphologie, voici ce que ça donne. Ceux qui me connaissent bien vont se bidonner.
Elle atteste par ailleurs de votre conscience d'exister. Vous ne voulez pas passer inaperçu mais ne cherchez pas, non plus, à nécessairement vous faire remarquer. Les accents et les points de vos lettres "i" dénotent une inclination à l'autodiscipline. Vous respectez ce qui est établi et cherchez peu à vous en démarquer. Ce signe, contraire à l'esprit de provocation, témoigne par ailleurs de votre intérêt pour la précision et l'efficacité, comme de votre faculté à la concentration. Vous ne devriez pas être mauvais au jeu d'échecs. La fermeté de vos graphes trahit une grande vitalité, une énergie qui réclame de l'action à mener sur le long terme. Vous avez la constance ainsi qu'une détermination suffisante pour réaliser vos entreprises. Aussi, dès que vous voyez clairement ce que vous désirez, vous vous jetez corps et âme dans la réalisation de votre projet. Mais vous savez aussi communiquer votre passion ce qui vous permet de commander sans que cela nécessite trop d'autorité. Vous êtes énergique, vous avez besoin d'entreprendre pour vous réaliser pleinement et ne goûtez guère l'immobilité physique comme psychique. Mais vous êtes aussi quelqu'un chez qui le sens critique est vif, et qui savez distinguer ce qui correspond à vos convictions de ce qui s'en démarque. Vous êtes, par ailleurs, caractérisé par une certaine cohérence de caractère, qui vous fait passer pour quelqu'un de mesuré, voire de "sage". Vous savez maîtriser vos pulsions, votre émotivité et ne vous y soumettre qu'après mûre réflexion. Cette tendance n'est pas toujours appréciée des autres qui vous considèrent parfois comme un être plat, monotone, manquant d'originalité ! Sur le plan de la "continuité", votre écriture indique que vous faites partie de ces individus, qui utilisent pleinement leur esprit logique, leur sens de la déduction, pour la réalisation de projets à mener sur le long terme. Mais, malgré ce sens de la logique et quoique votre extraversion vous permet de vous adapter à votre entourage, il vous arrive souvent de mener vos raisonnements, votre réflexion, jusqu'à la limite de l'absurde. Vos écrits trahissent votre manque d'imagination et de dynamisme. En un mot, le caractère vous fait défaut. On peut toutefois louer votre rigueur et votre souci du détail. Ce n'est pas avec vous qu'on risque des surprises, mais il est parfois agréable de côtoyer quelqu'un de posé. De manigance, vous en êtes capable si vos objectifs la justifient. Vous utilisez votre habileté dans l'intrigue pour vous mettre en valeur aux yeux d'autrui, pour vous vendre ou faire adhérer à vos idées. Ce n'est pas forcément un défaut mais ça peut le devenir ! Discret par prudence, vous êtes capable de mentir pour vous protéger. Votre grande hantise : que vous soyez démasqué et qu'en cela vous déceviez... D'aucun disent sans doute de vous que vous êtes intelligent (à distinguer de cultivé). C'est certainement vrai, du moins votre écriture en témoigne. Vous cultivez le bon sens et savez juger avec droiture. Vous avez des opinions mûrement réfléchies et vous les exprimez naturellement, sans vous les imposer sous forme de dogmes. La forme de vos caractères graphiques dénote une douceur certaine. Gentil, sociable, parfois charmeur, vous n'appréciez guère la solitude et recherchez constamment la présence d'autrui. De la volonté, de la stabilité, de la fermeté dans les idées. Vous allez au fond des choses grâce à une grande maîtrise de vous-même. Chez vous l'excès est de rigueur. Vous êtes impulsif, orgueilleux, mais aussi désordonné et parfois agressif. La taille de votre écriture témoigne d'un certain élan vital. Vous êtes actifs et plutôt tourné vers l'extraversion en ce sens que vous vous affirmez facilement. Vous disposez d'une qualité d'imagination accentuée par votre émotivité.
Et maintenant, je victimise Nickyboy !
(Ouais, Weby m'a dit que tag, c'était dépassé, maintenant, on ne tague plus, on victimise...)
(C'est fou tout ce qu'on peut trouver sur Internet quand on a une tonne de travaux à corriger...)
Voici une affiche qui pourrait sembler mensongère :
Si vous économisez 5 $ à l'achat d'un glockenspiel, vous paierez 5 $ de moins que le prix initial, n'est-ce pas ?
Alors, si le prix initial de l'article ici annoncé était de 249,99 $ et que l'on économise -10 $, le nouveau prix est de 249,99 $ - - 10 $ = 249,99 $ + 10 $ = 259,99 $. CQFD
Et pourquoi pas, puisque c'est le thème, un petit rabais postal de -100 $ ? Dans une enveloppe que vous aurez soin d'affranchir suffisament, envoyez-nous votre facture, la preuve d'achat (CPU au beau milieu de la boîte) ainsi que votre chèque ou mandat poste ! Tiens, tiens, c'est peut-être pour cela que tant de gens se plaignent de ne jamais recevoir leur rabais postal... ils ont oublié d'envoyer les sous et ils s'attendent à ce que l'entreprise les remercie, franchement !
(Bon... qu'est-ce que je pourrais bien faire d'autre pour ne pas corriger...)
Voici une affiche qui pourrait sembler mensongère :
Si vous économisez 5 $ à l'achat d'un glockenspiel, vous paierez 5 $ de moins que le prix initial, n'est-ce pas ?
Alors, si le prix initial de l'article ici annoncé était de 249,99 $ et que l'on économise -10 $, le nouveau prix est de 249,99 $ - - 10 $ = 249,99 $ + 10 $ = 259,99 $. CQFD
Et pourquoi pas, puisque c'est le thème, un petit rabais postal de -100 $ ? Dans une enveloppe que vous aurez soin d'affranchir suffisament, envoyez-nous votre facture, la preuve d'achat (CPU au beau milieu de la boîte) ainsi que votre chèque ou mandat poste ! Tiens, tiens, c'est peut-être pour cela que tant de gens se plaignent de ne jamais recevoir leur rabais postal... ils ont oublié d'envoyer les sous et ils s'attendent à ce que l'entreprise les remercie, franchement !
(Bon... qu'est-ce que je pourrais bien faire d'autre pour ne pas corriger...)
Pour la prochaine année, je vous souhaite :
La santé de Bebo Valdès qui aura 90 ans cette année. Rester jeune, c'est avoir encore le goût d'expérimenter à 80 ans et jouer du piano comme ça jusqu'à 100 ans !
La créativité de Ravel pour exprimer le sublime. Ravel est mort il y a 70 ans.
La quête d'harmonie et de la collaboration et l'enthouiasme !
Surmonter les difficultés avec de l'imagination et ... en trouvant les bons outils !
La santé de Bebo Valdès qui aura 90 ans cette année. Rester jeune, c'est avoir encore le goût d'expérimenter à 80 ans et jouer du piano comme ça jusqu'à 100 ans !
La créativité de Ravel pour exprimer le sublime. Ravel est mort il y a 70 ans.
La quête d'harmonie et de la collaboration et l'enthouiasme !
Surmonter les difficultés avec de l'imagination et ... en trouvant les bons outils !
Non, je ne vous parlerai pas de ces magnifiques concerts que l'on peut entendre dans les églises (est-ce un mot tabou... déjà j'ai censuré Noël, il faut me dire si je dois bannir le mot église de notre vocabulaire accommodant), je ne vous parlerai pas non plus de l'organiste de la cat.. d'Ottawa qui a lui seul vaut toute la m... de N... lorsqu'il se met à improviser ad delirium pour les quelques fidèles (de l'organiste) qui bien qu'arrivant tôt, négligent le choeur pour monter dans le jubée avoir les meilleures places pour admirer l'artiste tentaculaire (l'organ se jouant avec le coeur, la tête, les mains et les pieds, il faut être tentaculaire pour y exceller). Mon cousin est d'ailleurs facteur d'orgues et je compte bien lui demander si les organistes ne lui demandent pas pour les pédales des mini-claviers dont ils pourraient jouer avec les orteils. M'enfin, là n'est pas mon propos.
Il s'agit d'un premier concert symphonique.
Entrée des musiciens : ils s'installent et pratiquent les passages plus difficiles.
Les étudiants partagent leurs résultats ou donnent des précisions aux autres sur les divers projets qu'ils doivent remettre dans les prochains jours.
Arrivée du premier violon : elle donne le "la".
Les étudiants s'ajustent, rangent leurs autres projets et se mettent en mode mathématique. Pour plusieurs, c'est le dernier cours de maths de leur vie ! Préparation pour l'évaluation et en particulier, révision de l'algèbre vectorielle, le supplice de plusieurs.
Le joueur de timbale :
"Madame, moi j'ai bien compris les vecteurs, est-ce que je peux aller faire mon autre projet ?"
Bien sûr, je ne pensais pas avoir autant de timbales dans mon orchestre. Ils quittent, mais ça me va.
Le concert de l'algèbre vectorielle commence. Allegro ma non troppo. On joue dans le classique : paradigme de l'enseignement.
Ils jouent dans leur mode alternatif, en bons étudiants 2.0. Ça commence à ressembler à du contemporain.
Un étudiant sorti avec les timbales revient pour son solo : il n'a pas compris le numéro 3... Le basson et le trombone sortent. Une étudiante se tire les cheveux.
Étudiants 2.0 : pas de temps à perdre, l'information où vous la voulez, quand vous la voulez.
"Ok gang, on est dans un concert classique."
"De késsé, premier violon ? Ah oui, c'est vrai, dans l'autre paradigme, tu es le chef !"
"Je vous permets d'entrer et de sortir, mais entre les mouvements seulement. Pendant les explications, pas un mot, sauf pour les questions, même pas le droit de tousser."
Lors de leur dernier cours de maths à vie, mes élèves ont non seulement révisé l'algèbre vectorielle, mais ils ont appris les règles des concerts classiques. Les mathématiques ne sont prétextes qu'à tellement d'apprentissages connexes !
Et moi, j'ai appris que la prochaine fois, la révision se fera en balladodiffusion !
Il s'agit d'un premier concert symphonique.
Entrée des musiciens : ils s'installent et pratiquent les passages plus difficiles.
Les étudiants partagent leurs résultats ou donnent des précisions aux autres sur les divers projets qu'ils doivent remettre dans les prochains jours.
Arrivée du premier violon : elle donne le "la".
Les étudiants s'ajustent, rangent leurs autres projets et se mettent en mode mathématique. Pour plusieurs, c'est le dernier cours de maths de leur vie ! Préparation pour l'évaluation et en particulier, révision de l'algèbre vectorielle, le supplice de plusieurs.
Le joueur de timbale :
"Madame, moi j'ai bien compris les vecteurs, est-ce que je peux aller faire mon autre projet ?"
Bien sûr, je ne pensais pas avoir autant de timbales dans mon orchestre. Ils quittent, mais ça me va.
Le concert de l'algèbre vectorielle commence. Allegro ma non troppo. On joue dans le classique : paradigme de l'enseignement.
Ils jouent dans leur mode alternatif, en bons étudiants 2.0. Ça commence à ressembler à du contemporain.
Un étudiant sorti avec les timbales revient pour son solo : il n'a pas compris le numéro 3... Le basson et le trombone sortent. Une étudiante se tire les cheveux.
Étudiants 2.0 : pas de temps à perdre, l'information où vous la voulez, quand vous la voulez.
"Ok gang, on est dans un concert classique."
"De késsé, premier violon ? Ah oui, c'est vrai, dans l'autre paradigme, tu es le chef !"
"Je vous permets d'entrer et de sortir, mais entre les mouvements seulement. Pendant les explications, pas un mot, sauf pour les questions, même pas le droit de tousser."
Lors de leur dernier cours de maths à vie, mes élèves ont non seulement révisé l'algèbre vectorielle, mais ils ont appris les règles des concerts classiques. Les mathématiques ne sont prétextes qu'à tellement d'apprentissages connexes !
Et moi, j'ai appris que la prochaine fois, la révision se fera en balladodiffusion !
Il faut me pardonner à l'avance ce billet : c'est la fin de la session.
Oui, je l'avoue. Même si Prof malgré tout a bien raison de ne pas le comprendre, j'aime les Trois Accords. Je connais la majorité des "succès" qui passent à Radio Cochonnerie (Radio Cochonnerie : si c'est poche, on l'a). Je peux vous chanter Fidélité de Fidel même sans avoir bu. Je suis peut-être celle qui a semé le démon qui habite Monsieur A ou est-ce lui qui m'a poussée à acheter l'anthologie de Michel Louvain : on ne le sait pas. Quoiqu'il en soit, j'ai honte d'être en retard sur ce phénomène que nous a fait découvrir hier Patrick Lagacé : LadyGripette. Depuis hier, je savoure ses centaines de vidéos déposés sur youtube et je l'envie.
Je l'envie parce que je suis certaine que Ladygripette s'amuse en faisant ça et qu'elle n'a pas eu cette pensée qui a traversé mon esprit quand j'ai vu qu'elle s'enregistrait en faisant du karaoke : ce serait là un superbe exercice de lecture rapide à proposer aux enfants.
Sérieusement, tous les enfants aiment chanter et pour suivre les paroles, il faut savoir lire et parfois lire assez vite. Maintenant, amusez-vous à changer les paroles pour éviter la mémorisation du texte des chansons. Voilà un bel exercice d'initiation à la poésie que de devoir écrire de nouvelles paroles de chansons. Faites ensuite chanter les nouvelles chansons en équipes et en choeur ! Ça peut être assez drôle. Un peu de DDR en éducation physique et du karaoke en français, en anglais ou en espagnol. Ça change du ballon chasseur ou des textes éducatifs ennuyants sur Jane Goodall ou Helen Keller !
Dans une entrevue à TVA, Ladygripette affirme dans sa grande sagesse :
"De toute façon, j'ai rien à perdre : j'ai rien, je suis su'l B.S." Imaginez le bonheur de n'avoir rien à perdre.
Mais Ladygripette, tu as plus que tu ne crois : tu as des cigarettes, un ordinateur bien équipé qui te permet de t'enregistrer en faisant du karaoke, tu as ton petit mari et ton grand fiston en chest qui t'appuient, qui participent avec toi et qui te défendent et en plus, tu es multitâche !
Regardez-la clavarder sur MSN en même temps qu'elle enregistre en famille son vidéo. On dirait mes étudiants quand je donne les explications du laboratoire informatique !
Je ne sais pas... après ça, il me vient en tête le refrain de la Chanson de Jacky :
Être une heure, une heure seulement
Être une heure, une heure quelquefois
Être une heure, rien qu'une heure durant
Belle, belle, belle et conne à la fois.
Et comme finirait Serge Lama : Et je suis malheureuse...
Mais, pour oublier tout cela, quand il fait -20°C dehors, quand on a la chance comme Ladygripette d'avoir un ordinateur, rien de tel que le nouveau usbwine.
Ah... je vais déjà mieux.
Oui, je l'avoue. Même si Prof malgré tout a bien raison de ne pas le comprendre, j'aime les Trois Accords. Je connais la majorité des "succès" qui passent à Radio Cochonnerie (Radio Cochonnerie : si c'est poche, on l'a). Je peux vous chanter Fidélité de Fidel même sans avoir bu. Je suis peut-être celle qui a semé le démon qui habite Monsieur A ou est-ce lui qui m'a poussée à acheter l'anthologie de Michel Louvain : on ne le sait pas. Quoiqu'il en soit, j'ai honte d'être en retard sur ce phénomène que nous a fait découvrir hier Patrick Lagacé : LadyGripette. Depuis hier, je savoure ses centaines de vidéos déposés sur youtube et je l'envie.
Je l'envie parce que je suis certaine que Ladygripette s'amuse en faisant ça et qu'elle n'a pas eu cette pensée qui a traversé mon esprit quand j'ai vu qu'elle s'enregistrait en faisant du karaoke : ce serait là un superbe exercice de lecture rapide à proposer aux enfants.
Sérieusement, tous les enfants aiment chanter et pour suivre les paroles, il faut savoir lire et parfois lire assez vite. Maintenant, amusez-vous à changer les paroles pour éviter la mémorisation du texte des chansons. Voilà un bel exercice d'initiation à la poésie que de devoir écrire de nouvelles paroles de chansons. Faites ensuite chanter les nouvelles chansons en équipes et en choeur ! Ça peut être assez drôle. Un peu de DDR en éducation physique et du karaoke en français, en anglais ou en espagnol. Ça change du ballon chasseur ou des textes éducatifs ennuyants sur Jane Goodall ou Helen Keller !
Dans une entrevue à TVA, Ladygripette affirme dans sa grande sagesse :
"De toute façon, j'ai rien à perdre : j'ai rien, je suis su'l B.S." Imaginez le bonheur de n'avoir rien à perdre.
Mais Ladygripette, tu as plus que tu ne crois : tu as des cigarettes, un ordinateur bien équipé qui te permet de t'enregistrer en faisant du karaoke, tu as ton petit mari et ton grand fiston en chest qui t'appuient, qui participent avec toi et qui te défendent et en plus, tu es multitâche !
Regardez-la clavarder sur MSN en même temps qu'elle enregistre en famille son vidéo. On dirait mes étudiants quand je donne les explications du laboratoire informatique !
Je ne sais pas... après ça, il me vient en tête le refrain de la Chanson de Jacky :
Être une heure, une heure seulement
Être une heure, une heure quelquefois
Être une heure, rien qu'une heure durant
Belle, belle, belle et conne à la fois.
Et comme finirait Serge Lama : Et je suis malheureuse...
Mais, pour oublier tout cela, quand il fait -20°C dehors, quand on a la chance comme Ladygripette d'avoir un ordinateur, rien de tel que le nouveau usbwine.
Ah... je vais déjà mieux.
C'est le cas de le dire, ce sport a fait boule de neige :
De nos jours, les autobus jaunes qui envahissent les centres de ski regorgent de jeunes enfin lâchés "loose", la fourche de pantalon aux genoux, les pieds liés à leur planche, comme pour se souvenir du milieu carcéral qui leur permet cette sortie autorisée.
Il a été démontré depuis belle lurette (pas la fille de Saint-Élie-de-Caxton, mais l'autre) que le cerveau des ados ne fonctionne pas normalement. Ce n'est pas de leur faute, ils n'ont pas encore le nez sorti du nombril et ils ont le bouton "plaisir" collé dans le tapis.
Plusieurs cultures ont compris que pour couper court aux délires de l'adolescence, rien de tel que des rites bien établis. Un séjour plus ou moins long dans un lieu réservé éloigné de la société, l'enfant quitte son monde de l'enfance sous les cris perçant de sa mère et de sa famille à qui on l'arrache, va souffrir pour son bien quelques temps, puis revient au village, adulte, accueilli par toute la société dans une grande fête marquant son initiation.
Tout ça, hélas, c'est de l'histoire ancienne. Finis les rituels organisés dans cette société ! Aujourd'hui, c'est l'ado qui détermine l'endroit qu'il envahit et l'adolescence commence de plus en plus tôt et se termine de plus en plus tard... Par chez nous, l'hiver, ce sont les centres de ski que plusieurs "dudes" choisissent d'envahir pour faire de la planche !
Comme la planche demande une certaine préparation avant chaque descente (ne serait-ce que pour attacher le pied libéré), ils s'installent dès leur sortie du remonte-pente, bloguant ainsi le passage aux skieurs qui eux veulent avoir accès à la piste dès que leurs fesses quittent le siège. Ils s'en vont ensuite soit sur des pistes qui ne conviennent pas à ce sport et là, ils dérangent ou alors, en gang, ils vont sur les pistes moins abruptes ou moins boisées gratter tels des chasse-neige toute la belle neige pour laisser une belle croûte de fond glacé. Mais le pire, c'est quand ils décident de s'attendre après la butte du tournant... car pour s'attendre, les planchistes adolescents transforment leur planche en tangente à la courbe de niveau et s'assoient en troupeau de phoques au beau milieu du passage. Le skieur non averti arrive, passe la bosse et, s'apercevant qu'il lui sera difficile de ne pas atterrir sur le troupeau leur lance un appel : Phoooooooooques !
Sinon, comme ils reçoivent des subventions parentales importantes pour débarrasser la maison quelques heures pour faire du sport (et faire le plein de malbouffe), les planchistes adolescents hyper-consommateurs rapportent beaucoup aux centres de ski. Ce qui fait qu'on les attire en réservant sur les pistes des sections de plus en plus larges pour qu'ils puissent s'amuser davantage (sauts, barres métalliques, rampes). Voilà qui est parfait. Mais pourquoi ne leur réservons-nous pas toute la piste ? Une section complète de la montagne voire des centres de ski entiers aménagés uniquement pour nos hyperhormonés : des buttes pour se cacher, des structures pour se faire valoir, de la musique abrutissante, des distributions d'échantillon de crème hydratante, de Clearasil et de condoms dans les fils d'attente de leurs remonte-pente dans lesquels ils pourront ensuite se crier après d'une cabine à l'autre, taguer leurs sièges.
Bref, qu'ils se cassent la gueule entre eux et qu'ils nous laissent les autres pistes !
P.S. : Je suis vraiment mûre pour aller enseigner au secondaire. HA!HA!HA!
De nos jours, les autobus jaunes qui envahissent les centres de ski regorgent de jeunes enfin lâchés "loose", la fourche de pantalon aux genoux, les pieds liés à leur planche, comme pour se souvenir du milieu carcéral qui leur permet cette sortie autorisée.
Il a été démontré depuis belle lurette (pas la fille de Saint-Élie-de-Caxton, mais l'autre) que le cerveau des ados ne fonctionne pas normalement. Ce n'est pas de leur faute, ils n'ont pas encore le nez sorti du nombril et ils ont le bouton "plaisir" collé dans le tapis.
Plusieurs cultures ont compris que pour couper court aux délires de l'adolescence, rien de tel que des rites bien établis. Un séjour plus ou moins long dans un lieu réservé éloigné de la société, l'enfant quitte son monde de l'enfance sous les cris perçant de sa mère et de sa famille à qui on l'arrache, va souffrir pour son bien quelques temps, puis revient au village, adulte, accueilli par toute la société dans une grande fête marquant son initiation.
Tout ça, hélas, c'est de l'histoire ancienne. Finis les rituels organisés dans cette société ! Aujourd'hui, c'est l'ado qui détermine l'endroit qu'il envahit et l'adolescence commence de plus en plus tôt et se termine de plus en plus tard... Par chez nous, l'hiver, ce sont les centres de ski que plusieurs "dudes" choisissent d'envahir pour faire de la planche !
Comme la planche demande une certaine préparation avant chaque descente (ne serait-ce que pour attacher le pied libéré), ils s'installent dès leur sortie du remonte-pente, bloguant ainsi le passage aux skieurs qui eux veulent avoir accès à la piste dès que leurs fesses quittent le siège. Ils s'en vont ensuite soit sur des pistes qui ne conviennent pas à ce sport et là, ils dérangent ou alors, en gang, ils vont sur les pistes moins abruptes ou moins boisées gratter tels des chasse-neige toute la belle neige pour laisser une belle croûte de fond glacé. Mais le pire, c'est quand ils décident de s'attendre après la butte du tournant... car pour s'attendre, les planchistes adolescents transforment leur planche en tangente à la courbe de niveau et s'assoient en troupeau de phoques au beau milieu du passage. Le skieur non averti arrive, passe la bosse et, s'apercevant qu'il lui sera difficile de ne pas atterrir sur le troupeau leur lance un appel : Phoooooooooques !
Sinon, comme ils reçoivent des subventions parentales importantes pour débarrasser la maison quelques heures pour faire du sport (et faire le plein de malbouffe), les planchistes adolescents hyper-consommateurs rapportent beaucoup aux centres de ski. Ce qui fait qu'on les attire en réservant sur les pistes des sections de plus en plus larges pour qu'ils puissent s'amuser davantage (sauts, barres métalliques, rampes). Voilà qui est parfait. Mais pourquoi ne leur réservons-nous pas toute la piste ? Une section complète de la montagne voire des centres de ski entiers aménagés uniquement pour nos hyperhormonés : des buttes pour se cacher, des structures pour se faire valoir, de la musique abrutissante, des distributions d'échantillon de crème hydratante, de Clearasil et de condoms dans les fils d'attente de leurs remonte-pente dans lesquels ils pourront ensuite se crier après d'une cabine à l'autre, taguer leurs sièges.
Bref, qu'ils se cassent la gueule entre eux et qu'ils nous laissent les autres pistes !
P.S. : Je suis vraiment mûre pour aller enseigner au secondaire. HA!HA!HA!
Un message de la plus haute importance en cette période de l'année :
Charles-Antoine, remercie ton beau-père au nom de tous les lecteurs de ce blogue.
Merci Bill.
Charles-Antoine, remercie ton beau-père au nom de tous les lecteurs de ce blogue.
Merci Bill.
Charles-Antoine en parle depuis longtemps. Comme il est toujours de bon conseil, j'ai commencé à en faire avec les étudiants.
À la première plonge :
L'élève : "Madame, j'ai plus de place sur ma feuille !"
Missmath : "L'important, c'est qu'il t'en reste dans ta tête!"
À la troisième plonge :
Quand je leur propose de faire leur réseau de concepts, les feuilles se tournent immédiatement en mode paysage... c'est déjà ça ! Car ils n'aiment pas ça.
L'élève : Qu'est-ce que j'écris ?
Missmath : Tu fais en fait un résumé de la matière en faisant des liens entre les concepts, vers ce à quoi ils t'amènent.
L'élève : Ouin, ben je ne comprends rien dans cette matière-là.
Mismath : Tu ne comprends rien ? Rien du tout ?
L'élève : Rien.
Missmath : Ok. Sais-tu de quoi parle l'étape ?
L'élève avec une face de Dâh et un ton de "tu te fous-tu de ma gueule" : Ben des complexes.
Missmath : Bien, c'est parti. Écris ça. Ok, maintenant, c'est quoi un complexe ?
L'élève : Ben c'est une patente avec des j.
Missmath : Ok. Ben fais une flèche de "complexes" et écris j dans une autre case. Maintenant, c'est quoi j ?
L'élève : Ben, je ne le sais pas, mais j² = -1.
Missmath : Ben là, ajoute ça ! Fais une flèche de ton j et écris définition : j²=-1.
L'élève d'à côté qui écoute attentivement : C'est pas j = V(-1) ?
Missmath : Ça ne revient pas au même ?
L'élève d'à côté : Ben ouin...
Missmath : Pis tes nombres complexes ont-ils nécessairement des j ?
L'élève : Ben oui.
Missmath : Ok, est-ce qu'ils ont tous que des j ?
L'élève : Ben non, des fois, il y a un nombre + des j.
Missmath : Ah... ben corrige ta définition. Et puis comment s'appelle le nombre qui n'a pas de j ?
L'élève : Ben la partie réelle, pis l'autre c'est la partie imaginaire.
Missmath : C'est bon ça et qu'est-ce qu'on fait avec des complexes ?
L'élève : Ben, des +, pis toute sorte d'affaires.
Missmath : Écris-les.
L'élève : Toutes ?
Missmath : Y en a-tu tant que ça ?
L'élève : Ben tu les veux toutes ou juste celles qu'on utilise ?
Missmath : Qu'est-ce que tu veux dire ?
L'élève : Ben tsé, mettons qu'on veut diviser, c'est plus facile quand on divise les longueurs pis les angles qu'avec les j.
Missmath : Tu vérifieras ta règle de division, je ne pense pas que les angles se divisent.
L'élève : Ben oui, check l'exemple qu'on a "faite". Ah ben non, on les soustrait.
Missmath : Écris tout ça dans ton réseau. Pis en même temps, tu vois, à ta définition de nombre complexe avec les j, tu peux ajouter la définition avec la longueur pis l'angle. Pis tant qu'à y être, ajoute la façon de passer d'une à l'autre. Au fait, comment on l'appelle cette longueur ?
L'élève : Euh c'est-tu ça le module ?
Missmath : C'est ça, pis l'angle s'appelle argument. Sais-tu que pour quelqu'un qui ne comprenait rien, tu en sais quand même pas mal.
L'élève : Ouin, ben c'est l'impédance que je ne comprends pas.
Missmath : Ah ben tiens ! Fais-toi donc une flèche qui dit que les nombres complexes, ça sert entre autre à calculer l'impédance. Pis c'est quoi l'impédance ?
L'élève : Ben je ne sais pas, je ne comprends rien. C'est dans les circuits-là avec des bobines, des condensateurs pis toute.
Missmath : Continue, t'es bien parti !
C'est difficile, car ils préfèrent que le prof arrive avec le beau résumé ou mieux des exemples comme-il-y-aura-dans-l'examen tout faits qu'ils apprendront par coeur, qu'ils ne comprendront pas et qu'ils oublieront dès que l'examen sera passé... Mais peut-être qu'un jour, ils arriveront à faire leurs réseaux de concepts par eux-mêmes... et alors, ils deviendront les plusssses meilleurs au monde !!!
via Florence Meichel
À la première plonge :
L'élève : "Madame, j'ai plus de place sur ma feuille !"
Missmath : "L'important, c'est qu'il t'en reste dans ta tête!"
À la troisième plonge :
Quand je leur propose de faire leur réseau de concepts, les feuilles se tournent immédiatement en mode paysage... c'est déjà ça ! Car ils n'aiment pas ça.
L'élève : Qu'est-ce que j'écris ?
Missmath : Tu fais en fait un résumé de la matière en faisant des liens entre les concepts, vers ce à quoi ils t'amènent.
L'élève : Ouin, ben je ne comprends rien dans cette matière-là.
Mismath : Tu ne comprends rien ? Rien du tout ?
L'élève : Rien.
Missmath : Ok. Sais-tu de quoi parle l'étape ?
L'élève avec une face de Dâh et un ton de "tu te fous-tu de ma gueule" : Ben des complexes.
Missmath : Bien, c'est parti. Écris ça. Ok, maintenant, c'est quoi un complexe ?
L'élève : Ben c'est une patente avec des j.
Missmath : Ok. Ben fais une flèche de "complexes" et écris j dans une autre case. Maintenant, c'est quoi j ?
L'élève : Ben, je ne le sais pas, mais j² = -1.
Missmath : Ben là, ajoute ça ! Fais une flèche de ton j et écris définition : j²=-1.
L'élève d'à côté qui écoute attentivement : C'est pas j = V(-1) ?
Missmath : Ça ne revient pas au même ?
L'élève d'à côté : Ben ouin...
Missmath : Pis tes nombres complexes ont-ils nécessairement des j ?
L'élève : Ben oui.
Missmath : Ok, est-ce qu'ils ont tous que des j ?
L'élève : Ben non, des fois, il y a un nombre + des j.
Missmath : Ah... ben corrige ta définition. Et puis comment s'appelle le nombre qui n'a pas de j ?
L'élève : Ben la partie réelle, pis l'autre c'est la partie imaginaire.
Missmath : C'est bon ça et qu'est-ce qu'on fait avec des complexes ?
L'élève : Ben, des +, pis toute sorte d'affaires.
Missmath : Écris-les.
L'élève : Toutes ?
Missmath : Y en a-tu tant que ça ?
L'élève : Ben tu les veux toutes ou juste celles qu'on utilise ?
Missmath : Qu'est-ce que tu veux dire ?
L'élève : Ben tsé, mettons qu'on veut diviser, c'est plus facile quand on divise les longueurs pis les angles qu'avec les j.
Missmath : Tu vérifieras ta règle de division, je ne pense pas que les angles se divisent.
L'élève : Ben oui, check l'exemple qu'on a "faite". Ah ben non, on les soustrait.
Missmath : Écris tout ça dans ton réseau. Pis en même temps, tu vois, à ta définition de nombre complexe avec les j, tu peux ajouter la définition avec la longueur pis l'angle. Pis tant qu'à y être, ajoute la façon de passer d'une à l'autre. Au fait, comment on l'appelle cette longueur ?
L'élève : Euh c'est-tu ça le module ?
Missmath : C'est ça, pis l'angle s'appelle argument. Sais-tu que pour quelqu'un qui ne comprenait rien, tu en sais quand même pas mal.
L'élève : Ouin, ben c'est l'impédance que je ne comprends pas.
Missmath : Ah ben tiens ! Fais-toi donc une flèche qui dit que les nombres complexes, ça sert entre autre à calculer l'impédance. Pis c'est quoi l'impédance ?
L'élève : Ben je ne sais pas, je ne comprends rien. C'est dans les circuits-là avec des bobines, des condensateurs pis toute.
Missmath : Continue, t'es bien parti !
C'est difficile, car ils préfèrent que le prof arrive avec le beau résumé ou mieux des exemples comme-il-y-aura-dans-l'examen tout faits qu'ils apprendront par coeur, qu'ils ne comprendront pas et qu'ils oublieront dès que l'examen sera passé... Mais peut-être qu'un jour, ils arriveront à faire leurs réseaux de concepts par eux-mêmes... et alors, ils deviendront les plusssses meilleurs au monde !!!
via Florence Meichel
Postulat 1 : Il est plus prudent de rester chez soi les jours de tempête.
Postulat 2 : Les conducteurs d'autobus sont des gens expérimentés sur la route.
Fait 1 : Les élèves du primaire et du secondaire n'ont pas de voiture (sauf de rares exceptions).
Postulat 3 : Moins on a d'expérience au volant, plus on risque des accidents, surtout quand il y a tempête.
Fait 2 : Les étudiants du cégep ont, pour la plupart, leur voiture et peu d'expérience au volant.
De 1, on obtient la fermeture censée des écoles primaires et secondaires...
Pourtant, s'il fallait absolument laisser des écoles ouvertes, logiquement, les écoles primaires et secondaires auraient dû être celles-là et le cégep, lui, aurait dû fermer !
Une jalouse qui aurait aimé jouer dans la neige aujourd'hui... bouhouhou...
Postulat 2 : Les conducteurs d'autobus sont des gens expérimentés sur la route.
Fait 1 : Les élèves du primaire et du secondaire n'ont pas de voiture (sauf de rares exceptions).
Postulat 3 : Moins on a d'expérience au volant, plus on risque des accidents, surtout quand il y a tempête.
Fait 2 : Les étudiants du cégep ont, pour la plupart, leur voiture et peu d'expérience au volant.
De 1, on obtient la fermeture censée des écoles primaires et secondaires...
Pourtant, s'il fallait absolument laisser des écoles ouvertes, logiquement, les écoles primaires et secondaires auraient dû être celles-là et le cégep, lui, aurait dû fermer !
Une jalouse qui aurait aimé jouer dans la neige aujourd'hui... bouhouhou...
"Les formations du MELS sont une espèce de Wal-Mart de l'éducation avec un seul choix en magasin et une gang de vendeurs mal à l'aise avec le produit."
Gilles G. Jobin
Gilles G. Jobin
La preuve que Novembre est dehors, la voici :
Ça y est, il fait frette ! Alors parlons tablette !
Depuis quelques temps, le département de Génie électrique constate que la pédagogie et les activités d'apprentissage en salle de classe pourraient être plus efficaces si chaque étudiant possédait son portable. C'est ainsi qu'a été développé le projet TGÉ en TIC, projet appuyé par le cégep (enfin, dans la mesure où le cégep appuie un programme en difficulté, mais ça c'est une toute autre histoire).
Il y a quelques mois, nous avons rencontré Monsieur André Girard, professeur de physique au Cégep de Ste-Foy et pionnier du projet P@scal... et de bien d'autres choses. (J'adore Monsieur Girard qui est une personne énergisante et avant-gardiste qui donne le goût d'expérimenter, qui a une expertise considérable, qui a osé avancer malgré les difficultés et les résistances, qui porte un regard réfléchi sur la pédagogie tout en restant d'une simplicité et d'une écoute attentive envers tous.) Monsieur Girard nous a alors dit qu'outre la gestion matérielle des salles de classe, il fallait considérer l'écran du portable comme un paravent entre l'étudiant et le reste de la classe. Le point est fort intéressant. Aussi, pour le contrer et pour permettre une utilisation plus facile de l'ordinateur dans la prise ou dans l'annotations de notes de cours (pensons en mathématique, par exemple), nous avons opté pour la tablette PC... eh oui, hélas, PC... (hi!hi!hi!)
Nous avons reçu la tablette il y a quelques semaines et nous avons commencé à nous amuser avec ce nouveau jouet. (Nous excluant la personne qui écrit qui n'arrive pas à trouver une seule seconde pour cela... mais la session finit... heureusement.)
Or vla-tu pas qu'en ce beau premier jour de décembre frette, Ollie nous propose une utilisation de la tablette en physique ! Je l'inclus ici tout en y joignant une présentation (peut-être un peu longuette) de la trousse éducationnelle de la tablette PC.
C'est évidemment un dossier à suirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre !
Ça y est, il fait frette ! Alors parlons tablette !
Depuis quelques temps, le département de Génie électrique constate que la pédagogie et les activités d'apprentissage en salle de classe pourraient être plus efficaces si chaque étudiant possédait son portable. C'est ainsi qu'a été développé le projet TGÉ en TIC, projet appuyé par le cégep (enfin, dans la mesure où le cégep appuie un programme en difficulté, mais ça c'est une toute autre histoire).
Il y a quelques mois, nous avons rencontré Monsieur André Girard, professeur de physique au Cégep de Ste-Foy et pionnier du projet P@scal... et de bien d'autres choses. (J'adore Monsieur Girard qui est une personne énergisante et avant-gardiste qui donne le goût d'expérimenter, qui a une expertise considérable, qui a osé avancer malgré les difficultés et les résistances, qui porte un regard réfléchi sur la pédagogie tout en restant d'une simplicité et d'une écoute attentive envers tous.) Monsieur Girard nous a alors dit qu'outre la gestion matérielle des salles de classe, il fallait considérer l'écran du portable comme un paravent entre l'étudiant et le reste de la classe. Le point est fort intéressant. Aussi, pour le contrer et pour permettre une utilisation plus facile de l'ordinateur dans la prise ou dans l'annotations de notes de cours (pensons en mathématique, par exemple), nous avons opté pour la tablette PC... eh oui, hélas, PC... (hi!hi!hi!)
Nous avons reçu la tablette il y a quelques semaines et nous avons commencé à nous amuser avec ce nouveau jouet. (Nous excluant la personne qui écrit qui n'arrive pas à trouver une seule seconde pour cela... mais la session finit... heureusement.)
Or vla-tu pas qu'en ce beau premier jour de décembre frette, Ollie nous propose une utilisation de la tablette en physique ! Je l'inclus ici tout en y joignant une présentation (peut-être un peu longuette) de la trousse éducationnelle de la tablette PC.
C'est évidemment un dossier à suirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre !
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