- On donnera droit aux ressources lorsque les connaissances préalables sont trop vastes pour être mémorisées. Par exemple, les étudiants en droit répondent à leur examen en pouvant consulter leur code.
- Quand le niveau taxonomique de la tâche dépasse celui des manuels ou des notes de cours. Par exemple, la résolution d'une situation complexe.
- Par mesquinerie déguisée. Vous savez, ces examens où vous avez droit à tout, mais pour lesquels vous n'avez même pas le temps de lever le crayon. (Rare, mais ça existe.)
Ensuite, parce que, pour plusieurs étudiants, "pas besoin d'étudier, c'est à livre ouvert" !
Après plus d'un an d'école à la maison, donc d'examens à la maison, avec l'organisation de canaux parallèles de collaboration, particulièrement lors des examens, les épreuves certificatives finales cette session ressemblent à la performance de l'équipe de bobsleigh de la Jamaïque aux olympiques de Calgary.
Cette session, pour attester de la réussite du cours, les étudiants sont convoqués cette semaine à un examen oral dont ils possèdent 3 questions sur 5. Comprenons nous bien. Cet examen est comme l'examen pratique de la SAAQ pour l'obtention du permis de conduire. Pour réussir, l'étudiant doit réussir son oral ou démontrer qu'il a atteint les objectifs minimaux du cours. Et quand je dis qu'ils possèdent 3 questions sur 5, je veux dire que, depuis deux semaines, les étudiants ont le fichier de l'examen avec les 3 questions et qu'ils peuvent y répondre pour se pratiquer ; lors de l'examen, ils devront répondre à ces 3 questions devant moi, me dire ce qu'ils font, comment ils y arrivent.
Selon vous, quelle proportion des élèves arrivent à cet examen préparés ?
Le quart... en majorité les étudiants qui maîtrisent le cours.
L'équipe olympique ne sera pas grosse cette session...
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